Ascenseurs : suppression de la dernière tranche de travaux

Un décret du 21 octobre 2014 exonère les copropriétaires de la troisième tranche de travaux de mise en sécurité des ascenseurs. Il prévoit ainsi la suppression de l’obligation d’installer un système de protection contre la vitesse excessive de la cabine en montée dans les ascenseurs électriques à adhérence.Ces travaux, qui correspondaient à la troisième et dernière tranche des travaux de mise en sécurité des ascenseurs installés avant le 27 août 2000, devaient en principe être réalisés au plus tard le 3 juillet 2018. Désormais, seule demeure l’obligation de prévoir un système de contrôle de l’arrêt et du maintien à niveau de la cabine, à tous les niveaux desservis, dans les ascenseurs situés dans des établissements recevant du public et installés avant le 31 décembre 1982.Cette mesure s’intègre dans le plan de simplification des normes annoncé en 2014 par le Gouvernement, prévoyant cinquante mesures entrant dans le champ de la construction de logements.

30 % DES ASCENSEURS RESTENT À SÉCURISER
Les copropriétés tardent à se conformer à la loi de Sécurité des Appareils Existants (SAE). Selon une étude réalisée en juillet 2014, la Fédération des Ascenseurs estimait que 30 % du parc n’avait pas encore été mis aux normes, ce qui représenterait environ 85 000 appareils.

 

Le point sur les assurances immobilières

Avec 66% de constructions antérieures à 1974, le parc immobilier français vieillit et nécessite des travaux de rénovation significatifs (ravalement, chauffage, réseau, performance énergétique…). Or, le niveau actuel des constructions neuves est insuffisant pour contenir ce vieillissement. 80% des sinistres survenus dans les immeubles sont occasionnés par des dégâts des eaux, en grande majorité du fait de la vétusté des installations, et ils sont pourtant indemnisés par les assureurs.Par ailleurs, le risque climatique évolue d’année en année, les évènements de 2014 en ont été la triste illustration, et les sinistres de ce type alourdissent mécaniquement les comptes des assureurs. En complément, les coûts de réparation restent orientés à la hausse, du fait de l’augmentation de la TVA en janvier 2014 et de celle du coût horaire de la main d’œuvre. Sur les 20 dernières années, le coût moyen d’un sinistre dégât des eaux a progressé 2 fois plus vite que l’indice de référence (Fédération Française du Bâtiment), qui est normalement censé compenser l’inflation.Un constat général se dégage de cette analyse : depuis une dizaine d’année, les résultats techniques sont déficitaires. Les copropriétés n’aiguisent plus les appétits des assureurs, et de nombreux acteurs ont quitté ce marché, réduisant le jeu naturel de saine concurrence. L’augmentation tarifaire est donc malheureusement inévitable.

Une nouvelle collaboratrice NCG pour l’accueil téléphonique

Nouvelle venue au sein de l’équipe NCG : Yamina Hafidi a repris les rênes de l’accueil de NCG. Elle assure la prise en charge des appels téléphoniques entrants, ainsi que l’accueil physique, en nos locaux, des visiteurs copropriétaires, propriétaires et locataires. D’un naturel souriant et disponible, Yamina est à votre écoute et saura vous orienter vers le bon interlocuteur avec la plus grande efficacité.Nous sommes conscients que l’accueil est une fonction essentielle, qui va bien au-delà de son rôle de simple “aiguillage”. Dans le prolongement de notre politique centrée sur la satisfaction client, nous avons jugé capital, pour l’accompagner dans sa mission, de l’impliquer dans la vie de l’entreprise, et dans un minimum de réunions lui permettant d’être au fait des projets en cours et des équipes concernées.Certains d’entre vous, qui ont déjà eu l’occasion d’échanger avec elle, nous ont déjà fait part de son « grand professionnalisme », et de son « sourire » qui s’entend même au téléphone !! De quoi participer à améliorer la qualité de service que vous attendez de nous.